La nature et ses activités à travers les proverbes.
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Dans cette anthologie faite d’une série de 4 ouvrages indispensables à tout amoureux de l’île et de sa langue, Ernestu Papi fait non seulement un précieux travail de recension et de sauvetage, offrant à un art oral, sa fixité, sa trace écrite, mais de plus, il nous permet d’en comprendre les origines, le sens originel, la vérité. Sa grande connaissance de la langue et de la spiritualité insulaire, sa générosité humaine, nous guident dans le labyrinthe du sens et nous permet d’en saisir l’essence, qu’il s’agisse de rire, de réfléchir, ou d’aimer.
Illustration couverture de Walter Fahrer
Le visage de ce malheureux était toujours caché par un masque, certains prétendront que ce dernier était de fer. Cette recherche fut longue, étalée sur plus de cinquante ans. Il en résulte des découvertes révélées dans cet ouvrage parmi lesquelles le lieu où fut inhumé le Masque de Fer, le black-out organisé pour que son nom ne soit jamais découvert et les éléments pour que soit réalisé le test ADN mettant fin au mystère.
Après le succès de « Les enfants de Monte Cassino », Marie-Hélène Ferrari récidive avec cette fresque historique, saisissante et magique !
Le logos est la source de l’intelligente lumière de Thucydide, de Platon ou d’Aristote, de l’arrangement de la physis, des premières questions sur l’être, du débat politique et institutionnel. Il dit la force frémissante de la vie chez Héraclite ou Empédocle, la présence belle et terrible des dieux.
La parole politique, la vie sous l’empire des lois, sont mesure de l’homme libre.
La guerre, par sa tension dialectique – volonté d’hégémonie et désir d’autonomie , révèle l’essence même de la cité, sa secrète harmonie. Elle est élément constitutif de la polis, à l’origine de son nomos, d’un ordre qui l’oppose à l’altérité absolue du barbare.
Cette passion dévorante est signe d’une théologie et d’un éros du politique, d’une idée de la vertu et de la philosophie.
Dans Les Saisons de la loi : l’aristeia du meilleur des Achéens, la cité historique se mirant dans la callipolis, les paradis persans d’Alexandre de Macédoine, le jardin d’Épicure, Plutarque, déjà entre deux mondes, avant Plotin et Marc Aurèle.
Débarquant dans un village de montagne, Quenza, en Corse du Sud, en plein milieu d’une exposition de sculptures à ciel ouvert, une jolie juge va rencontrer en chair et en os l’écrivain qu’elle admire depuis très longtemps, Ansideo Giovanali. Mais tout va virer au cauchemar et à la folie meurtrière. Quel lien entretient avec l’horreur le château abandonné construit par amour par un consul pour sa belle italienne exilée ?
Une petite fille disparaît dans une ville de province, une petite fille qui est une partie de l’âme de la population. Dès cet instant, un tempo marqué par les vingt-quatre heures qui s’égrènent à l’horloge du clocher lance un compte à rebours lancinant.