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Dans ce très beau livre, les mots choisis et les univers de Jacques Renucci viennent en résonance avec les dessins oniriques de Marie-Hélène Ferrari pour nous conduire dans le rêve et la méditation.
Livre compagnon qu’on se surprend à rouvrir, pour le savourer comme un mets délicat.
16.00€
DISPONIBLE
Poèmes de Jacques RENUCCI
Encres de Marie-Hélène FERRARI
Préface d’Antoine GRAZIANI
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Débarquant dans un village de montagne, Quenza, en Corse du Sud, en plein milieu d’une exposition de sculptures à ciel ouvert, une jolie juge va rencontrer en chair et en os l’écrivain qu’elle admire depuis très longtemps, Ansideo Giovanali. Mais tout va virer au cauchemar et à la folie meurtrière. Quel lien entretient avec l’horreur le château abandonné construit par amour par un consul pour sa belle italienne exilée ?
Lazare Dentimon n'aime pas les gens, n'aime pas les autres, l'humain le gonfle mais il aime les livres, et c'est tant mieux car il est directeur d'une grande maison d'édition. Cela fait longtemps qu'il s'est résigné à trouver la perle parmi les tonnes de manuscrits qui envahissent son bureau.Jusqu'au jour où arrive une toute petite lettre bleue mystérieuse, il se sent impliqué, et malgré lui elle va l'entraîner dans un suspens drôle et inquiétant.
Dans cet opuscule il répertorie et classifie les proverbes, adages ou maximes ayant trait aux particularités des villages pendant les mois et les saisons. De cet incroyable travail de recherche il a effectué un classement par thèmes, ils constituent un symbole d’appartenance à un lieu, un village, un pays, une culture.
Dans cet opuscule il répertorie et classifie les proverbes, adages ou maximes ayant trait aux croyances, qualités et défauts.
Il y a “Le Marcheur”, qui avance et Sylvain qui se bat contre tous. Il y a Finelli et Pieri qui ne s’entendent pas, et Barcelli qui vieillit. Il y a Bonifacio, le sud et les habitudes locales qui ont la vie dure. Et il y a le commissaire Pierucci, qui se livre beaucoup, parce qu’il est amoureux, qu’il voudrait bien être en vacances avec Sofia, mais il y a des indélicats qui meurent de tous côtés, et de vacances, il n’en aura pas. Pourquoi cet obscur comédien se fait-il égorger, peu de temps après qu’une grosse berline ait roulé trop vite, le long d’une nationale ?
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