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La pluie avait lentement inondé le monde. Les races s'étaient modifiées, les terres et les modes de vie s'étaient adaptés. Au milieu de ce temps terrible, étaient nés des enfants étranges, aux capacités insoupçonnées. Leur seule apparition faisait naitre la crainte dans les regards.
Garo est l'un d'entre eux et avec sept de ces êtres nouveaux, il va tenter de remplir une mission périlleuse, dans un univers qu'il ne connaît pas.
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Un roman d’aventure, de dépaysement où l’imagination débordante de Marie-Hélène Ferrari nous entraine loin, bien loin de ce monde.
1er volet de la saga des Garo, il pose un univers déroutant, unique.
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Dans ce très beau livre, les mots choisis et les univers de Jacques Renucci viennent en résonance avec les dessins oniriques de Marie-Hélène Ferrari pour nous conduire dans le rêve et la méditation.
Livre compagnon qu’on se surprend à rouvrir, pour le savourer comme un mets délicat.
Une petite fille disparaît dans une ville de province, une petite fille qui est une partie de l’âme de la population. Dès cet instant, un tempo marqué par les vingt-quatre heures qui s’égrènent à l’horloge du clocher lance un compte à rebours lancinant.
Lazare Dentimon n'aime pas les gens, n'aime pas les autres, l'humain le gonfle mais il aime les livres, et c'est tant mieux car il est directeur d'une grande maison d'édition. Cela fait longtemps qu'il s'est résigné à trouver la perle parmi les tonnes de manuscrits qui envahissent son bureau.Jusqu'au jour où arrive une toute petite lettre bleue mystérieuse, il se sent impliqué, et malgré lui elle va l'entraîner dans un suspens drôle et inquiétant.
Adolphe, a pris l’habitude de se confondre avec les murs de la poste où il officie dans une routine revendiquée. Il a renoncé à tout, et tout particulièrement à l’amour « sa part animale », mais pas à la pêche. Il va croiser le destin de Faustine, de Clafoutis, et de bien d’autres, liens vers l’extérieur, lui qui ne vit qu’entre son guichet et la carpe empaillée qui orne l’entrée de son appartement.
Il y a “Le Marcheur”, qui avance et Sylvain qui se bat contre tous. Il y a Finelli et Pieri qui ne s’entendent pas, et Barcelli qui vieillit. Il y a Bonifacio, le sud et les habitudes locales qui ont la vie dure. Et il y a le commissaire Pierucci, qui se livre beaucoup, parce qu’il est amoureux, qu’il voudrait bien être en vacances avec Sofia, mais il y a des indélicats qui meurent de tous côtés, et de vacances, il n’en aura pas. Pourquoi cet obscur comédien se fait-il égorger, peu de temps après qu’une grosse berline ait roulé trop vite, le long d’une nationale ?
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