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La pluie avait lentement inondé le monde. Les races s'étaient modifiées, les terres et les modes de vie s'étaient adaptés. Au milieu de ce temps terrible, étaient nés des enfants étranges, aux capacités insoupçonnées. Leur seule apparition faisait naitre la crainte dans les regards.
Garo est l'un d'entre eux et avec sept de ces êtres nouveaux, il va tenter de remplir une mission périlleuse, dans un univers qu'il ne connaît pas.
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Un roman d’aventure, de dépaysement où l’imagination débordante de Marie-Hélène Ferrari nous entraine loin, bien loin de ce monde.
1er volet de la saga des Garo, il pose un univers déroutant, unique.
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Le logos est la source de l’intelligente lumière de Thucydide, de Platon ou d’Aristote, de l’arrangement de la physis, des premières questions sur l’être, du débat politique et institutionnel. Il dit la force frémissante de la vie chez Héraclite ou Empédocle, la présence belle et terrible des dieux.
La parole politique, la vie sous l’empire des lois, sont mesure de l’homme libre.
La guerre, par sa tension dialectique – volonté d’hégémonie et désir d’autonomie , révèle l’essence même de la cité, sa secrète harmonie. Elle est élément constitutif de la polis, à l’origine de son nomos, d’un ordre qui l’oppose à l’altérité absolue du barbare.
Cette passion dévorante est signe d’une théologie et d’un éros du politique, d’une idée de la vertu et de la philosophie.
Dans Les Saisons de la loi : l’aristeia du meilleur des Achéens, la cité historique se mirant dans la callipolis, les paradis persans d’Alexandre de Macédoine, le jardin d’Épicure, Plutarque, déjà entre deux mondes, avant Plotin et Marc Aurèle.
Une petite fille disparaît dans une ville de province, une petite fille qui est une partie de l’âme de la population. Dès cet instant, un tempo marqué par les vingt-quatre heures qui s’égrènent à l’horloge du clocher lance un compte à rebours lancinant.
Certains hommes ne peuvent mourir de mort violente, les prêtres sont en principe de ceux-là ! Pourtant dans ce 5ème tome des aventures du commissaire Pierucci, nous sommes entraînés dans une enquête qui nous interroge sur les dérives adolescentes. Du choc provoqué par le meurtre, à l’ordre, il y a tout le chemin d’un homme pris aussi, dans les tourments de la vie.
Quand le « marcheur » s’était arrêté pour contempler l’église de Carbini, il ne savait pas que Pierucci n’allait pas tarder à le suivre, sur les chemins de la souffrance.
La Corse des montagnes, la Corse de l’hiver, la Corse des secrets va conduire le caractériel commissaire sur la piste d’un meurtrier particulièrement sanglant et mystérieux. Il va inscrire ses pas dans un passé douloureux d’une terre qu’il croyait connaître, interroger les failles de sa propre mémoire, traverser le temps.
Que s’est-il passé à Carbini dans les temps anciens, qui demande justice d’une manière aussi violente ?
Rompant ici une vision souriante d’une Corse touristique, la quête va affronter le temps, la peur, et la mort.
Débarquant dans un village de montagne, Quenza, en Corse du Sud, en plein milieu d’une exposition de sculptures à ciel ouvert, une jolie juge va rencontrer en chair et en os l’écrivain qu’elle admire depuis très longtemps, Ansideo Giovanali. Mais tout va virer au cauchemar et à la folie meurtrière. Quel lien entretient avec l’horreur le château abandonné construit par amour par un consul pour sa belle italienne exilée ?
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