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Dans cet univers de science fiction, le clonage a remplacé le naturel, la rencontre de deux mondes aux destinées quasi contraires, une curieuse histoire où les hommes ne sont plus que des répliques mais où subsiste encore l’espoir, la révolte.
Une belle histoire d’amour aussi…
4.90€
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“Plus de nations, plus de races, des Dômes protecteurs derrière lesquels les hommes vivent en autarcie dans ce monde ravagé par les intempéries.
Des silhouettes semblables qui portent toutes le même prénom, toutes nées de cette curieuse matrice, des fratries qui accomplissent leur tâche sans se poser de question, tout est parfait dans ce monde parfait jusqu’au jour…”
Dans ce roman d’anticipation, Marie-Hélène Ferrari s’éloigne des genres empruntés ces dernières années mais on y retrouve son penchant pour les questions profondément humaines. Elle joue avec les codes et les règles pour créer un monde tout à fait imaginaire.
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Adolphe, a pris l’habitude de se confondre avec les murs de la poste où il officie dans une routine revendiquée. Il a renoncé à tout, et tout particulièrement à l’amour « sa part animale », mais pas à la pêche. Il va croiser le destin de Faustine, de Clafoutis, et de bien d’autres, liens vers l’extérieur, lui qui ne vit qu’entre son guichet et la carpe empaillée qui orne l’entrée de son appartement.
Le logos est la source de l’intelligente lumière de Thucydide, de Platon ou d’Aristote, de l’arrangement de la physis, des premières questions sur l’être, du débat politique et institutionnel. Il dit la force frémissante de la vie chez Héraclite ou Empédocle, la présence belle et terrible des dieux.
La parole politique, la vie sous l’empire des lois, sont mesure de l’homme libre.
La guerre, par sa tension dialectique – volonté d’hégémonie et désir d’autonomie , révèle l’essence même de la cité, sa secrète harmonie. Elle est élément constitutif de la polis, à l’origine de son nomos, d’un ordre qui l’oppose à l’altérité absolue du barbare.
Cette passion dévorante est signe d’une théologie et d’un éros du politique, d’une idée de la vertu et de la philosophie.
Dans Les Saisons de la loi : l’aristeia du meilleur des Achéens, la cité historique se mirant dans la callipolis, les paradis persans d’Alexandre de Macédoine, le jardin d’Épicure, Plutarque, déjà entre deux mondes, avant Plotin et Marc Aurèle.
L’auteur nous brosse le portrait d’un Napoléon que l’on savait visionnaire, percevant les dangers qui guettaient l’Europe : la Prusse bien sûr, mais aussi la Russie et les nations émergentes comme les états-Unis. Sur l’échiquier du monde et les 150 prochaines années, la vision de Bonaparte est lumineuse, hélas juste, et il dessine ce que l’on connaîtra ensuite, les guerres du dix-neuvième et du vingtième siècle, dont cette horreur absolue qui fut le IIIe Reich. Cet engagement pour une Europe pacifiée collaborant pour développer le commerce et la démocratie est la base de la réflexion du Napoléon de l’île d’Elbe qui songe à revenir au premier plan.
Le but de Jean-Baptiste Gail est de faire découvrir un Thucydide connu seulement par un petit nombre de savants – c’est le sort de tout ce qui est grand, élevé et difficile. Son Histoire grecque de Thucydide est parue en 1807 (10 vol. in-4°). Cette édition papier vélin, avec « le luxe de grandes marges », résultat de quinze années de travail et de « sacrifices exorbitants » pour la collation des manuscrits, la gravure des specimen, les honoraires de ses lecteurs, a été tirée à un petit nombre d’exemplaires. Elle est dédiée à l’empereur de toutes les Russies.
1807, année de la dédicace, est également l’année de l’entrevue de Tilsit, au cœur de la dialectique terre/mer dont Thucydide est l’inventeur. Elle est remarquable pour son intelligence particulière du texte, ses commentaires, ses notes supplémentaires, ses observations et ses remarques critiques diverses. Notre dessein est de dire l’importance de la traduction de Jean-Baptiste Gail, de mettre en lumière l’intérêt et la richesse de ses commentaires.
Le visage de ce malheureux était toujours caché par un masque, certains prétendront que ce dernier était de fer. Cette recherche fut longue, étalée sur plus de cinquante ans. Il en résulte des découvertes révélées dans cet ouvrage parmi lesquelles le lieu où fut inhumé le Masque de Fer, le black-out organisé pour que son nom ne soit jamais découvert et les éléments pour que soit réalisé le test ADN mettant fin au mystère.
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