Only logged in customers who have purchased this product may leave a review.
Une traque, une chasse à l'homme. Telle est la trame du récit puisque Nobody est chasseur de prime.
Une course dans un monde déroutant, des personnages attachants, inquiétants pour certains. Une histoire simple en apparence qui devient complexe au fil des pages et une confrontation entre le chasseur et le chassé dans une Amérique glauque perdue entre son besoin de paix, ses valeurs, mais aussi ses monstres cachés sous l'apparence de si honnêtes citoyens.
9.50€
DISPONIBLE
Sorti sous le pseudo d’un imaginaire écrivain canadien, ce roman a eu de jolies critiques, personne n’ayant reconnu Marie-Hélène Ferrari pour ceux qui la lisent.
Des lecteurs canadiens ont adoré leur “compatriote”, nos amis belges ont également frémi avec Tennessee Chance.
Nous aussi! Avec un sourire au coin des lèvres.
Marie-hélène Ferrari signe un suspens haletant à la fin déconcertante.
On adore!
Only logged in customers who have purchased this product may leave a review.
La physionomie de Thucydide est pensive et en harmonie avec le caractère austère de ses écrits, un rythme grave et lent, une haute langue. Son style est difficile, sombre. Son art est extrême. Thucydide est le plus philosophe des historiens, « l’historien des politiques ». Il est aussi stratège. Il raconte le poème de la force qui courbe et soumet les hommes, brise leurs membres. Il dit les harangues des maîtres de la guerre et des conducteurs de peuple, les combats et le sang qui coule noir, les trières qui se brisent, tout ce que la guerre a d’effrayant, de tragiquement beau et d’essentiel pour dire la nature humaine dans l’univers de la cité, la terrible contrainte de la nécessité politique.
La Guerre du Péloponnèse, œuvre de science et œuvre d’art, ne s’intéresse qu’à un seul événement, le conflit, au terme duquel les Péloponnésiens mettent fin à la thalassocratie des Athéniens. Thucydide y raconte la guerre, son histoire de l’impérialisme athénien, ascension, apogée et chute : un « bien à jamais précieux ». Son récit révèle, en effet, depuis le particulier, une vérité universelle et permanente. Des événements semblables, étant donné la nature des choses humaines, ne manqueront pas de se reproduire un jour. Thucydide est le fondateur de l’histoire politique.
Après le succès de « Les enfants de Monte Cassino », Marie-Hélène Ferrari récidive avec cette fresque historique, saisissante et magique !
Les chroniques “Au jour le jour” sont un survol malicieux et persifleur sur le monde de tous les jours. Ces notes de MH Ferrari, à l’origine des newsletters, accrochent les revers de la vie.
C’est amusant à lire, un vrai moment de détente avec des questionnements parfois graves, des sourires entendus sur les petits soucis du quotidien.
Le visage de ce malheureux était toujours caché par un masque, certains prétendront que ce dernier était de fer. Cette recherche fut longue, étalée sur plus de cinquante ans. Il en résulte des découvertes révélées dans cet ouvrage parmi lesquelles le lieu où fut inhumé le Masque de Fer, le black-out organisé pour que son nom ne soit jamais découvert et les éléments pour que soit réalisé le test ADN mettant fin au mystère.
À l’époque de Plutarque – les deux premiers siècles de l’ère chrétienne –, la polis a disparu en tant que puissance politique et militaire. Rome s’est emparé de l’imperium mundi. La cité grecque, en particulier Athènes, n’est plus qu’un ornement d’Empire, une «?Fondation?» ou une cité d’écoles renommées, caractérisée par les «?facilités pour l’étude grâce à l’abondance des livres et des conférences de toute sorte?». Plutarque a pris conscience du peu d’importance du jeu politique des cités grecques ne possédant plus qu’une indépendance illusoire à l’intérieur de l’Empire. Obéir aux Romains est bien une nécessité?: sur plus d’un vaincus est tombée la hache. Cela n’empêche pas Plutarque de célébrer le rétablissement de l’ordre dans le monde, les bienfaits de la pax romana.
Mais «?la Grèce vaincue a conquis son farouche vainqueur?»
Plutarque biographe et moraliste, comme ses contemporains historiens ou philosophes, est bien pris entre deux mondes, celui des Latins et celui des Grecs, le présent et le passé.
Un monde a disparu, celui de Périclès ou d’Hadrien, où la véritable religion était le culte de la cité elle-même. Un autre dominé par la religion et une morale différente se fait jour, avec, d’une manière générale, la promesse de diverses formes de salut. Il est intéressant de voir comment Plutarque, qui ne parle jamais des Chrétiens, se situe dans cet univers particulièrement ambigu, aux limites extrêmes du monde antique.
Il n'y a pas encore de critiques