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Marie-Hélène Ferrari revient avec une nouvelle série “Enquêtes Corses A.O.C.”, “Le Tarasco mortel” en est le 1er tome.
Marie-Hélène Ferrari revient avec une nouvelle série “Enquêtes Corses A.O.C.”, “Elections fatales” en est le 2e tome.
Marie-Hélène Ferrari revient avec une nouvelle série “Enquêtes Corses A.O.C.”, “Chasse tragique” en est le 3e tome.
Toto Niti ! Un homme qui semble avoir eu conscience, dès sa prime jeunesse, du destin exceptionnel qui allait être le sien, en Corse, dans les années quatre-vingt. De son village de montagne, au sommet de l’empire criminel qu’il bâtira à une époque où les bandits n’importaient pas encore leurs activités sur l’île, c’est son parcours et ceux de ses proches qui est raconté ici.
Dans le cadre exceptionnel de Bonifacio, un spécialiste comportemental, Docteur en psychologie, s’égare dans une enquête qui le mène d’une famille atypique aux arcanes de trafics locaux les plus sombres.
Après la série du fameux Pierucci, Marie-Hélène Ferrari repart pour de nouvelles aventures avec un héros singulier que vous allez adorer.
Un corps qui semble avoir été déchiré par un fauve est retrouvé à la pointe sauvage de la Testa, dans la Sud de la Corse, à quelques battements d’aile de Bonifacio. Peu de temps après, un rugissement terrifiant terrorise la haute ville, à l’heure du souper, quand les terrasses commencent à s’emplir de vacanciers. Quel animal fabuleux et épouvantable se tapit dans la station balnéaire, aux portes de l’été ? Dans le cadre époustouflant de la cité génoise, l’enquêteur corse évolue au milieu des bouleversements ethniques, sociaux, qui sont le propre de la Corse contemporaine.
Le premier opus des aventures du commissaire Armand Pierucci, polar littéraire « Made in Corsica », est une des peintures les plus savoureuses de la société insulaire jamais décrite.
Un pur régal !
Il y a “Le Marcheur”, qui avance et Sylvain qui se bat contre tous. Il y a Finelli et Pieri qui ne s’entendent pas, et Barcelli qui vieillit. Il y a Bonifacio, le sud et les habitudes locales qui ont la vie dure. Et il y a le commissaire Pierucci, qui se livre beaucoup, parce qu’il est amoureux, qu’il voudrait bien être en vacances avec Sofia, mais il y a des indélicats qui meurent de tous côtés, et de vacances, il n’en aura pas. Pourquoi cet obscur comédien se fait-il égorger, peu de temps après qu’une grosse berline ait roulé trop vite, le long d’une nationale ?
Quand le « marcheur » s’était arrêté pour contempler l’église de Carbini, il ne savait pas que Pierucci n’allait pas tarder à le suivre, sur les chemins de la souffrance.
La Corse des montagnes, la Corse de l’hiver, la Corse des secrets va conduire le caractériel commissaire sur la piste d’un meurtrier particulièrement sanglant et mystérieux. Il va inscrire ses pas dans un passé douloureux d’une terre qu’il croyait connaître, interroger les failles de sa propre mémoire, traverser le temps.
Que s’est-il passé à Carbini dans les temps anciens, qui demande justice d’une manière aussi violente ?
Rompant ici une vision souriante d’une Corse touristique, la quête va affronter le temps, la peur, et la mort. Pierucci va-t-il comprendre à temps ?
À l’évidence, c’est un enfant particulier ! Redondance, tautologie, dirait le linguiste, chaque enfant est particulier ! C’est l’essence de l’enfance, sa singularité ! Certes ! Mais celui-ci est si différent, que l’on peine à croire qu’il s’agisse vraiment d’un enfant. “SI-SISI-CHAUD-SI-SI-SI-SI-CHAUD !” disent les grillons. Tout y est, des bruissements du maquis corse à la langue imagée d’un Bonifacio à part.
Certains hommes ne peuvent mourir de mort violente, les prêtres sont en principe de ceux-là ! Pourtant dans ce 5ème tome des aventures du commissaire Pierucci, nous sommes entraînés dans une enquête qui nous interroge sur les dérives adolescentes. Du choc provoqué par le meurtre, à l’ordre, il y a tout le chemin d’un homme pris aussi, dans les tourments de la vie.
Élever un préadolescent est une tâche difficile, et la précocité du garçon ne facilité rien, c’est bien le cas de notre commissaire Pierucci et son fils Angelo. Confronté au vol de biens culturels étrusques et à deux cadavres éviscérées mutilés, le limier va devoir affronter un drame personnel violent.
Cette nouvelle aventure est un renouvellement pour notre commissaire Pierucci. Aucun de ceux qui ont lu ce récit n’en est sorti indemne : dur, enlevé, jubilatoire, puissant et violent!
Enfin un peu de tendresse dans ce 8ème opus de la saga Pierucci…mais attention aux rebondissements!
Le Commissaire Pierucci dans la tourmente? Une fois de plus à Bonifacio, le funeste décès de son ami d’enfance plonge notre héros dans une valse funèbre
Les femmes… Ah les femmes, mères et compagnes, femmes des autres, dames d’un jour, hantise de toujours. Et puis les jeunes gens grandissent et n’écoutent plus leur père. Le temps a tout usé. Les maisons deviennent hostiles, le monde devient flou, Pierucci se perd. Cette obscurité l’envahit peu à peu, dans la valse folle des morts et des vivants. Terrazoni le banquier, est retrouvé mort dans une chambre close, tandis qu’ailleurs on tue sans que personne ne le sache, et ici, le commissaire de Bonifacio tourbillonne, s’enfonce, comme un bois flotté dans la tempête. Et la Corse lutte contre ses démons.