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Dans ce très beau livre, les mots choisis et les univers de Jacques Renucci viennent en résonance avec les dessins oniriques de Marie-Hélène Ferrari pour nous conduire dans le rêve et la méditation.
Livre compagnon qu’on se surprend à rouvrir, pour le savourer comme un mets délicat.
16.00€
DISPONIBLE
Poèmes de Jacques RENUCCI
Encres de Marie-Hélène FERRARI
Préface d’Antoine GRAZIANI
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Le but de Jean-Baptiste Gail est de faire découvrir un Thucydide connu seulement par un petit nombre de savants – c’est le sort de tout ce qui est grand, élevé et difficile. Son Histoire grecque de Thucydide est parue en 1807 (10 vol. in-4°). Cette édition papier vélin, avec « le luxe de grandes marges », résultat de quinze années de travail et de « sacrifices exorbitants » pour la collation des manuscrits, la gravure des specimen, les honoraires de ses lecteurs, a été tirée à un petit nombre d’exemplaires. Elle est dédiée à l’empereur de toutes les Russies.
1807, année de la dédicace, est également l’année de l’entrevue de Tilsit, au cœur de la dialectique terre/mer dont Thucydide est l’inventeur. Elle est remarquable pour son intelligence particulière du texte, ses commentaires, ses notes supplémentaires, ses observations et ses remarques critiques diverses. Notre dessein est de dire l’importance de la traduction de Jean-Baptiste Gail, de mettre en lumière l’intérêt et la richesse de ses commentaires.
10ème tome de la saga, ce livre de MH Ferrari se lit d’un trait, jouissif, exaltant.
Son écriture fine et chamarrée fouille dans les entrailles de l’être humain pour tirer de la noirceur les prémices de la lumière. On en raffole!
Dans cet univers de science fiction, le clonage a remplacé le naturel, la rencontre de deux mondes aux destinées quasi contraires, une curieuse histoire où les hommes ne sont plus que des répliques mais où subsiste encore l’espoir, la révolte.
Une belle histoire d’amour aussi…
Une petite fille disparaît dans une ville de province, une petite fille qui est une partie de l’âme de la population. Dès cet instant, un tempo marqué par les vingt-quatre heures qui s’égrènent à l’horloge du clocher lance un compte à rebours lancinant.
Il y a “Le Marcheur”, qui avance et Sylvain qui se bat contre tous. Il y a Finelli et Pieri qui ne s’entendent pas, et Barcelli qui vieillit. Il y a Bonifacio, le sud et les habitudes locales qui ont la vie dure. Et il y a le commissaire Pierucci, qui se livre beaucoup, parce qu’il est amoureux, qu’il voudrait bien être en vacances avec Sofia, mais il y a des indélicats qui meurent de tous côtés, et de vacances, il n’en aura pas. Pourquoi cet obscur comédien se fait-il égorger, peu de temps après qu’une grosse berline ait roulé trop vite, le long d’une nationale ?
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