La nature et ses activités à travers les proverbes.
PLUS D'INFOS Nombre de pages: 62419.00€ 12.00€
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Dans cette anthologie faite d’une série de 4 ouvrages indispensables à tout amoureux de l’île et de sa langue, Ernestu Papi fait non seulement un précieux travail de recension et de sauvetage, offrant à un art oral, sa fixité, sa trace écrite, mais de plus, il nous permet d’en comprendre les origines, le sens originel, la vérité. Sa grande connaissance de la langue et de la spiritualité insulaire, sa générosité humaine, nous guident dans le labyrinthe du sens et nous permet d’en saisir l’essence, qu’il s’agisse de rire, de réfléchir, ou d’aimer.
Illustration couverture de Walter Fahrer
Dans ce recueil bilingue essentiel, Jacques Fusina, qu'on ne présente plus tant sa place dans le paysage intellectuel insulaire en langue corse et en langue française est importante, nous propose ses rêveries et ses lectures.
Chroniques, comptes rendus, mouvements d'humeur, sa sensibilité et sa fine intelligence se lisent de ligne en ligne.
Le visage de ce malheureux était toujours caché par un masque, certains prétendront que ce dernier était de fer. Cette recherche fut longue, étalée sur plus de cinquante ans. Il en résulte des découvertes révélées dans cet ouvrage parmi lesquelles le lieu où fut inhumé le Masque de Fer, le black-out organisé pour que son nom ne soit jamais découvert et les éléments pour que soit réalisé le test ADN mettant fin au mystère.
Une demeure isolée, perchée à la cime d’une montagne abrite une femme, réfugiée là pour écrire ses derniers secrets. Au moment où la vérité devient une nécessité, elle retrace l’histoire du grand amour de sa vie, dont elle a été séparée. Lentement, elle va refaire le chemin à l’envers, dans la solitude et les nuages, retrouvant au fil des pages, les saveurs sublimes de la passion qu’elle a gardée intacte.
Adolphe, a pris l’habitude de se confondre avec les murs de la poste où il officie dans une routine revendiquée. Il a renoncé à tout, et tout particulièrement à l’amour « sa part animale », mais pas à la pêche. Il va croiser le destin de Faustine, de Clafoutis, et de bien d’autres, liens vers l’extérieur, lui qui ne vit qu’entre son guichet et la carpe empaillée qui orne l’entrée de son appartement.
À l’époque de Plutarque – les deux premiers siècles de l’ère chrétienne –, la polis a disparu en tant que puissance politique et militaire. Rome s’est emparé de l’imperium mundi. La cité grecque, en particulier Athènes, n’est plus qu’un ornement d’Empire, une «?Fondation?» ou une cité d’écoles renommées, caractérisée par les «?facilités pour l’étude grâce à l’abondance des livres et des conférences de toute sorte?». Plutarque a pris conscience du peu d’importance du jeu politique des cités grecques ne possédant plus qu’une indépendance illusoire à l’intérieur de l’Empire. Obéir aux Romains est bien une nécessité?: sur plus d’un vaincus est tombée la hache. Cela n’empêche pas Plutarque de célébrer le rétablissement de l’ordre dans le monde, les bienfaits de la pax romana.
Mais «?la Grèce vaincue a conquis son farouche vainqueur?»
Plutarque biographe et moraliste, comme ses contemporains historiens ou philosophes, est bien pris entre deux mondes, celui des Latins et celui des Grecs, le présent et le passé.
Un monde a disparu, celui de Périclès ou d’Hadrien, où la véritable religion était le culte de la cité elle-même. Un autre dominé par la religion et une morale différente se fait jour, avec, d’une manière générale, la promesse de diverses formes de salut. Il est intéressant de voir comment Plutarque, qui ne parle jamais des Chrétiens, se situe dans cet univers particulièrement ambigu, aux limites extrêmes du monde antique.