La nature et ses activités à travers les proverbes.
PLUS D'INFOS Nombre de pages: 62419.00€ 12.00€
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Dans cette anthologie faite d’une série de 4 ouvrages indispensables à tout amoureux de l’île et de sa langue, Ernestu Papi fait non seulement un précieux travail de recension et de sauvetage, offrant à un art oral, sa fixité, sa trace écrite, mais de plus, il nous permet d’en comprendre les origines, le sens originel, la vérité. Sa grande connaissance de la langue et de la spiritualité insulaire, sa générosité humaine, nous guident dans le labyrinthe du sens et nous permet d’en saisir l’essence, qu’il s’agisse de rire, de réfléchir, ou d’aimer.
Illustration couverture de Walter Fahrer
Lazare Dentimon n'aime pas les gens, n'aime pas les autres, l'humain le gonfle mais il aime les livres, et c'est tant mieux car il est directeur d'une grande maison d'édition. Cela fait longtemps qu'il s'est résigné à trouver la perle parmi les tonnes de manuscrits qui envahissent son bureau.Jusqu'au jour où arrive une toute petite lettre bleue mystérieuse, il se sent impliqué, et malgré lui elle va l'entraîner dans un suspens drôle et inquiétant.
Dans ce très beau livre, les mots choisis et les univers de Jacques Renucci viennent en résonance avec les dessins oniriques de Marie-Hélène Ferrari pour nous conduire dans le rêve et la méditation.
Livre compagnon qu’on se surprend à rouvrir, pour le savourer comme un mets délicat.
Le logos est la source de l’intelligente lumière de Thucydide, de Platon ou d’Aristote, de l’arrangement de la physis, des premières questions sur l’être, du débat politique et institutionnel. Il dit la force frémissante de la vie chez Héraclite ou Empédocle, la présence belle et terrible des dieux.
La parole politique, la vie sous l’empire des lois, sont mesure de l’homme libre.
La guerre, par sa tension dialectique – volonté d’hégémonie et désir d’autonomie , révèle l’essence même de la cité, sa secrète harmonie. Elle est élément constitutif de la polis, à l’origine de son nomos, d’un ordre qui l’oppose à l’altérité absolue du barbare.
Cette passion dévorante est signe d’une théologie et d’un éros du politique, d’une idée de la vertu et de la philosophie.
Dans Les Saisons de la loi : l’aristeia du meilleur des Achéens, la cité historique se mirant dans la callipolis, les paradis persans d’Alexandre de Macédoine, le jardin d’Épicure, Plutarque, déjà entre deux mondes, avant Plotin et Marc Aurèle.
Quand le « marcheur » s’était arrêté pour contempler l’église de Carbini, il ne savait pas que Pierucci n’allait pas tarder à le suivre, sur les chemins de la souffrance.
La Corse des montagnes, la Corse de l’hiver, la Corse des secrets va conduire le caractériel commissaire sur la piste d’un meurtrier particulièrement sanglant et mystérieux. Il va inscrire ses pas dans un passé douloureux d’une terre qu’il croyait connaître, interroger les failles de sa propre mémoire, traverser le temps.
Que s’est-il passé à Carbini dans les temps anciens, qui demande justice d’une manière aussi violente ?
Rompant ici une vision souriante d’une Corse touristique, la quête va affronter le temps, la peur, et la mort.
10ème tome de la saga, ce livre de MH Ferrari se lit d’un trait, jouissif, exaltant.
Son écriture fine et chamarrée fouille dans les entrailles de l’être humain pour tirer de la noirceur les prémices de la lumière. On en raffole!