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La famille et son entourage à travers les proverbes.
Indispensable à tout amoureux de l’île et de sa langue, Ernestu Papi fait non seulement un précieux travail de recension et de sauvetage, il inventorie les adages, expressions et proverbes sur les personnes et les villages, qui, en grande partie sont nés de la jalousie mais aussi du caractère plaisantin du corse et de l’attachement viscéral de l’homme à sa terre et à ses racines.
19.00€ 12.00€
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Sa grande connaissance de la langue et de la spiritualité insulaire, sa générosité humaine, nous guident dans le labyrinthe du sens et nous permet d’en saisir l’essence, qu’il s’agisse de rire, de réfléchir, ou d’aimer.
Illustration couverture de Walter Fahrer
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Dans cet opuscule il répertorie et classifie les proverbes, adages ou maximes ayant trait aux particularités des villages pendant les mois et les saisons. De cet incroyable travail de recherche il a effectué un classement par thèmes, ils constituent un symbole d’appartenance à un lieu, un village, un pays, une culture.
Débarquant dans un village de montagne, Quenza, en Corse du Sud, en plein milieu d’une exposition de sculptures à ciel ouvert, une jolie juge va rencontrer en chair et en os l’écrivain qu’elle admire depuis très longtemps, Ansideo Giovanali. Mais tout va virer au cauchemar et à la folie meurtrière. Quel lien entretient avec l’horreur le château abandonné construit par amour par un consul pour sa belle italienne exilée ?
Il y a “Le Marcheur”, qui avance et Sylvain qui se bat contre tous. Il y a Finelli et Pieri qui ne s’entendent pas, et Barcelli qui vieillit. Il y a Bonifacio, le sud et les habitudes locales qui ont la vie dure. Et il y a le commissaire Pierucci, qui se livre beaucoup, parce qu’il est amoureux, qu’il voudrait bien être en vacances avec Sofia, mais il y a des indélicats qui meurent de tous côtés, et de vacances, il n’en aura pas. Pourquoi cet obscur comédien se fait-il égorger, peu de temps après qu’une grosse berline ait roulé trop vite, le long d’une nationale ?
Lazare Dentimon n'aime pas les gens, n'aime pas les autres, l'humain le gonfle mais il aime les livres, et c'est tant mieux car il est directeur d'une grande maison d'édition. Cela fait longtemps qu'il s'est résigné à trouver la perle parmi les tonnes de manuscrits qui envahissent son bureau.Jusqu'au jour où arrive une toute petite lettre bleue mystérieuse, il se sent impliqué, et malgré lui elle va l'entraîner dans un suspens drôle et inquiétant.
L’auteur nous brosse le portrait d’un Napoléon que l’on savait visionnaire, percevant les dangers qui guettaient l’Europe : la Prusse bien sûr, mais aussi la Russie et les nations émergentes comme les états-Unis. Sur l’échiquier du monde et les 150 prochaines années, la vision de Bonaparte est lumineuse, hélas juste, et il dessine ce que l’on connaîtra ensuite, les guerres du dix-neuvième et du vingtième siècle, dont cette horreur absolue qui fut le IIIe Reich. Cet engagement pour une Europe pacifiée collaborant pour développer le commerce et la démocratie est la base de la réflexion du Napoléon de l’île d’Elbe qui songe à revenir au premier plan.
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