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Dans cet opuscule il répertorie et classifie les proverbes, adages ou maximes ayant trait aux croyances, qualités et défauts.
PLUS D'INFOS Nombre de pages: 72019.00€ 12.00€
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A travers cette collection « Proverbes de Corse et d’ailleurs » Ernestu Papi nous offre une anthologie faite d’une série de 4 ouvrages indispensables, à tout amoureux de l’île et de sa langue, en langue corse et en français.
L’auteur réalise non seulement un précieux travail de recension et de sauvetage, offrant à un art oral, sa fixité, sa trace écrite, mais de plus, il nous permet d’en comprendre les origines, le sens originel, la vérité. Sa grande connaissance de la langue et de la spiritualité insulaire, sa générosité humaine, nous guident dans le labyrinthe du sens et nous permet d’en saisir l’essence, qu’il s’agisse de rire, de réfléchir, ou d’aimer.
Un incroyable travail où il catalogue des sentences de toutes origines pour notre plus grand bonheur : passionnant !
Illustration couverture de Walter Fahrer
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Il y a “Le Marcheur”, qui avance et Sylvain qui se bat contre tous. Il y a Finelli et Pieri qui ne s’entendent pas, et Barcelli qui vieillit. Il y a Bonifacio, le sud et les habitudes locales qui ont la vie dure. Et il y a le commissaire Pierucci, qui se livre beaucoup, parce qu’il est amoureux, qu’il voudrait bien être en vacances avec Sofia, mais il y a des indélicats qui meurent de tous côtés, et de vacances, il n’en aura pas. Pourquoi cet obscur comédien se fait-il égorger, peu de temps après qu’une grosse berline ait roulé trop vite, le long d’une nationale ?
Quand le « marcheur » s’était arrêté pour contempler l’église de Carbini, il ne savait pas que Pierucci n’allait pas tarder à le suivre, sur les chemins de la souffrance.
La Corse des montagnes, la Corse de l’hiver, la Corse des secrets va conduire le caractériel commissaire sur la piste d’un meurtrier particulièrement sanglant et mystérieux. Il va inscrire ses pas dans un passé douloureux d’une terre qu’il croyait connaître, interroger les failles de sa propre mémoire, traverser le temps.
Que s’est-il passé à Carbini dans les temps anciens, qui demande justice d’une manière aussi violente ?
Rompant ici une vision souriante d’une Corse touristique, la quête va affronter le temps, la peur, et la mort.
Une traque, une chasse à l'homme. Telle est la trame du récit puisque Nobody est chasseur de prime.
Une course dans un monde déroutant, des personnages attachants, inquiétants pour certains. Une histoire simple en apparence qui devient complexe au fil des pages et une confrontation entre le chasseur et le chassé dans une Amérique glauque perdue entre son besoin de paix, ses valeurs, mais aussi ses monstres cachés sous l'apparence de si honnêtes citoyens.
Le logos est la source de l’intelligente lumière de Thucydide, de Platon ou d’Aristote, de l’arrangement de la physis, des premières questions sur l’être, du débat politique et institutionnel. Il dit la force frémissante de la vie chez Héraclite ou Empédocle, la présence belle et terrible des dieux.
La parole politique, la vie sous l’empire des lois, sont mesure de l’homme libre.
La guerre, par sa tension dialectique – volonté d’hégémonie et désir d’autonomie , révèle l’essence même de la cité, sa secrète harmonie. Elle est élément constitutif de la polis, à l’origine de son nomos, d’un ordre qui l’oppose à l’altérité absolue du barbare.
Cette passion dévorante est signe d’une théologie et d’un éros du politique, d’une idée de la vertu et de la philosophie.
Dans Les Saisons de la loi : l’aristeia du meilleur des Achéens, la cité historique se mirant dans la callipolis, les paradis persans d’Alexandre de Macédoine, le jardin d’Épicure, Plutarque, déjà entre deux mondes, avant Plotin et Marc Aurèle.
Le but de Jean-Baptiste Gail est de faire découvrir un Thucydide connu seulement par un petit nombre de savants – c’est le sort de tout ce qui est grand, élevé et difficile. Son Histoire grecque de Thucydide est parue en 1807 (10 vol. in-4°). Cette édition papier vélin, avec « le luxe de grandes marges », résultat de quinze années de travail et de « sacrifices exorbitants » pour la collation des manuscrits, la gravure des specimen, les honoraires de ses lecteurs, a été tirée à un petit nombre d’exemplaires. Elle est dédiée à l’empereur de toutes les Russies.
1807, année de la dédicace, est également l’année de l’entrevue de Tilsit, au cœur de la dialectique terre/mer dont Thucydide est l’inventeur. Elle est remarquable pour son intelligence particulière du texte, ses commentaires, ses notes supplémentaires, ses observations et ses remarques critiques diverses. Notre dessein est de dire l’importance de la traduction de Jean-Baptiste Gail, de mettre en lumière l’intérêt et la richesse de ses commentaires.
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