Only logged in customers who have purchased this product may leave a review.
La famille et son entourage à travers les proverbes.
Indispensable à tout amoureux de l’île et de sa langue, Ernestu Papi fait non seulement un précieux travail de recension et de sauvetage, il inventorie les adages, expressions et proverbes sur les personnes et les villages, qui, en grande partie sont nés de la jalousie mais aussi du caractère plaisantin du corse et de l’attachement viscéral de l’homme à sa terre et à ses racines.
19.00€ 12.00€
DISPONIBLE
Sa grande connaissance de la langue et de la spiritualité insulaire, sa générosité humaine, nous guident dans le labyrinthe du sens et nous permet d’en saisir l’essence, qu’il s’agisse de rire, de réfléchir, ou d’aimer.
Illustration couverture de Walter Fahrer
Only logged in customers who have purchased this product may leave a review.
L’auteur nous brosse le portrait d’un Napoléon que l’on savait visionnaire, percevant les dangers qui guettaient l’Europe : la Prusse bien sûr, mais aussi la Russie et les nations émergentes comme les états-Unis. Sur l’échiquier du monde et les 150 prochaines années, la vision de Bonaparte est lumineuse, hélas juste, et il dessine ce que l’on connaîtra ensuite, les guerres du dix-neuvième et du vingtième siècle, dont cette horreur absolue qui fut le IIIe Reich. Cet engagement pour une Europe pacifiée collaborant pour développer le commerce et la démocratie est la base de la réflexion du Napoléon de l’île d’Elbe qui songe à revenir au premier plan.
Dans cet opuscule il répertorie et classifie les proverbes, adages ou maximes ayant trait aux particularités des villages pendant les mois et les saisons. De cet incroyable travail de recherche il a effectué un classement par thèmes, ils constituent un symbole d’appartenance à un lieu, un village, un pays, une culture.
Adolphe, a pris l’habitude de se confondre avec les murs de la poste où il officie dans une routine revendiquée. Il a renoncé à tout, et tout particulièrement à l’amour « sa part animale », mais pas à la pêche. Il va croiser le destin de Faustine, de Clafoutis, et de bien d’autres, liens vers l’extérieur, lui qui ne vit qu’entre son guichet et la carpe empaillée qui orne l’entrée de son appartement.
Une petite fille disparaît dans une ville de province, une petite fille qui est une partie de l’âme de la population. Dès cet instant, un tempo marqué par les vingt-quatre heures qui s’égrènent à l’horloge du clocher lance un compte à rebours lancinant.
Le logos est la source de l’intelligente lumière de Thucydide, de Platon ou d’Aristote, de l’arrangement de la physis, des premières questions sur l’être, du débat politique et institutionnel. Il dit la force frémissante de la vie chez Héraclite ou Empédocle, la présence belle et terrible des dieux.
La parole politique, la vie sous l’empire des lois, sont mesure de l’homme libre.
La guerre, par sa tension dialectique – volonté d’hégémonie et désir d’autonomie , révèle l’essence même de la cité, sa secrète harmonie. Elle est élément constitutif de la polis, à l’origine de son nomos, d’un ordre qui l’oppose à l’altérité absolue du barbare.
Cette passion dévorante est signe d’une théologie et d’un éros du politique, d’une idée de la vertu et de la philosophie.
Dans Les Saisons de la loi : l’aristeia du meilleur des Achéens, la cité historique se mirant dans la callipolis, les paradis persans d’Alexandre de Macédoine, le jardin d’Épicure, Plutarque, déjà entre deux mondes, avant Plotin et Marc Aurèle.
Il n'y a pas encore de critiques