Affichage de 17–32 sur 47 résultats
Adolphe, a pris l’habitude de se confondre avec les murs de la poste où il officie dans une routine revendiquée. Il a renoncé à tout, et tout particulièrement à l’amour « sa part animale », mais pas à la pêche. Il va croiser le destin de Faustine, de Clafoutis, et de bien d’autres, liens vers l’extérieur, lui qui ne vit qu’entre son guichet et la carpe empaillée qui orne l’entrée de son appartement.
Une demeure isolée, perchée à la cime d’une montagne abrite une femme, réfugiée là pour écrire ses derniers secrets. Au moment où la vérité devient une nécessité, elle retrace l’histoire du grand amour de sa vie, dont elle a été séparée. Lentement, elle va refaire le chemin à l’envers, dans la solitude et les nuages, retrouvant au fil des pages, les saveurs sublimes de la passion qu’elle a gardée intacte.
Les chroniques “Au jour le jour” sont un survol malicieux et persifleur sur le monde de tous les jours. Ces notes de MH Ferrari, à l’origine des newsletters, accrochent les revers de la vie.
C’est amusant à lire, un vrai moment de détente avec des questionnements parfois graves, des sourires entendus sur les petits soucis du quotidien.
Des nouvelles tendres et cruelles, où le monde, les hommes et les femmes, se disent comme ils sont.
Les textes évoquent le couple, la famille, le temps qui passe, des épreuves de la vie, banalités d’un quotidien transcendé par l’écriture.
En quelques tableaux doux et amers, elle conte tendrement nos désillusions, celles que l’on ose plus dire, touche au coeur par une fuite et rebondit dans la nouvelle suivante sur un tableau émouvant, ses dessins sont de séduisants contrepoints.
La pluie avait lentement inondé le monde. Les races s'étaient modifiées, les terres et les modes de vie s'étaient adaptés. Au milieu de ce temps terrible, étaient nés des enfants étranges, aux capacités insoupçonnées. Leur seule apparition faisait naitre la crainte dans les regards.
Garo est l'un d'entre eux et avec sept de ces êtres nouveaux, il va tenter de remplir une mission périlleuse, dans un univers qu'il ne connaît pas.
Dans cet univers de science fiction, le clonage a remplacé le naturel, la rencontre de deux mondes aux destinées quasi contraires, une curieuse histoire où les hommes ne sont plus que des répliques mais où subsiste encore l’espoir, la révolte.
Une belle histoire d’amour aussi…
RÉSUMÉ
De l’Océan Arctique à la Corse, il traverse le monde avec des ailes.
” You are a free Man “ lui a-t-on dit.
Il s’est fait lui-même un grand homme, parce qu’il démontre que rien, quand on ne le veut pas, n’est une fatalité.
Cette jambe que la vie lui a prise, il l’a convertie à force de volonté, de courage, en une chance. Cela s’appelle l’orphisme, ou la renaissance.
En tout cas, il nous propose avec optimisme, une vraie leçon de vie.
Cette vie qu’il découvre dans les coins les plus secrets et les plus exotiques du monde.
Le premier opus des aventures du commissaire Armand Pierucci, polar littéraire « Made in Corsica », est une des peintures les plus savoureuses de la société insulaire jamais décrite.
Un pur régal !
Il y a “Le Marcheur”, qui avance et Sylvain qui se bat contre tous. Il y a Finelli et Pieri qui ne s’entendent pas, et Barcelli qui vieillit. Il y a Bonifacio, le sud et les habitudes locales qui ont la vie dure. Et il y a le commissaire Pierucci, qui se livre beaucoup, parce qu’il est amoureux, qu’il voudrait bien être en vacances avec Sofia, mais il y a des indélicats qui meurent de tous côtés, et de vacances, il n’en aura pas. Pourquoi cet obscur comédien se fait-il égorger, peu de temps après qu’une grosse berline ait roulé trop vite, le long d’une nationale ?
Quand le « marcheur » s’était arrêté pour contempler l’église de Carbini, il ne savait pas que Pierucci n’allait pas tarder à le suivre, sur les chemins de la souffrance.
La Corse des montagnes, la Corse de l’hiver, la Corse des secrets va conduire le caractériel commissaire sur la piste d’un meurtrier particulièrement sanglant et mystérieux. Il va inscrire ses pas dans un passé douloureux d’une terre qu’il croyait connaître, interroger les failles de sa propre mémoire, traverser le temps.
Que s’est-il passé à Carbini dans les temps anciens, qui demande justice d’une manière aussi violente ?
Rompant ici une vision souriante d’une Corse touristique, la quête va affronter le temps, la peur, et la mort. Pierucci va-t-il comprendre à temps ?
À l’évidence, c’est un enfant particulier ! Redondance, tautologie, dirait le linguiste, chaque enfant est particulier ! C’est l’essence de l’enfance, sa singularité ! Certes ! Mais celui-ci est si différent, que l’on peine à croire qu’il s’agisse vraiment d’un enfant. “SI-SISI-CHAUD-SI-SI-SI-SI-CHAUD !” disent les grillons. Tout y est, des bruissements du maquis corse à la langue imagée d’un Bonifacio à part.
Certains hommes ne peuvent mourir de mort violente, les prêtres sont en principe de ceux-là ! Pourtant dans ce 5ème tome des aventures du commissaire Pierucci, nous sommes entraînés dans une enquête qui nous interroge sur les dérives adolescentes. Du choc provoqué par le meurtre, à l’ordre, il y a tout le chemin d’un homme pris aussi, dans les tourments de la vie.
Élever un préadolescent est une tâche difficile, et la précocité du garçon ne facilité rien, c’est bien le cas de notre commissaire Pierucci et son fils Angelo. Confronté au vol de biens culturels étrusques et à deux cadavres éviscérées mutilés, le limier va devoir affronter un drame personnel violent.
Cette nouvelle aventure est un renouvellement pour notre commissaire Pierucci. Aucun de ceux qui ont lu ce récit n’en est sorti indemne : dur, enlevé, jubilatoire, puissant et violent!
Enfin un peu de tendresse dans ce 8ème opus de la saga Pierucci…mais attention aux rebondissements!
Le Commissaire Pierucci dans la tourmente? Une fois de plus à Bonifacio, le funeste décès de son ami d’enfance plonge notre héros dans une valse funèbre